08
juin 2013

Errance et Curiosité

33 ans bientôt 34, pratiquement toutes mes dents dans un corps un peu près en bon état. C'est à la suite de ce billet (http://genma.free.fr/?Apres-mon-article-sur-mon) que je me suis dis « Je pense pareil ». Pourquoi écrire ? Probablement pour faire le point avec moi même... Et montrer que je sais écrire :)

Je ne rappelle plus à quel âge mes parents m'ont offert mon premier ordinateur, un Tandy 1000 EX. Souvenir du premier jour : allumage, MS-DOS démarre et nous voilà devant un écran noir avec le prompt qui clignote frénétiquement en blanc. Mais qu'est ce qu'on va bien pouvoir faire d'un truc pareil ? J'avoue ne jamais avoir trouvé la réponse peut être parce que Internet n'existait pas et que je n'avais personne pour m'accompagner. Quelques jeux achetés comme Bulder Dash ou bien les Jeux Olympiques. Cet ordinateur a vécu très longtemps puisque m'a cousine l'a mis au rébus il y a peu.

Au collège on s'est rapidement rendu compte que je n'allais pas faire un master en bio chimie moléculaire avec une thèse sur la reproduction des cloportes en apesanteur. Donc je passe en filière pro, à l'époque c'était la roue de secours. J'aimais les voitures, j'aimais bricoler mes vélos donc poufff tu sera mécanicien mon fils. J'avais une préférence pour les deux roues et sur Lyon un seul lycée avait un cycle CAP mécanique deux roues (moto, vélo), la SEPR à la Croix Rousse. La réputation du lycée n'était pas top donc mes parents m'inscrivent en mécanique auto au Lycée automobile de Bron (Emile Béjuit), assez bien coté. Me voilà à 15ans jeté dans l'arène des hommes, oui des hommes car il y avait tout âge. Le lycée forme des mécanos autos et poids lourds, des carrossiers, des conducteurs poids lourds du CAP au BTS. La tranche d'âge devait être 14ans – 20ans. Dans ma classe il y avait de tout, ceux qui en voulaient et ceux qui étaient là parce qu'il fallait aller à l'école. Je naviguais entre les deux mais j'étais quand même dans la tranche des résultats pas trop mauvais, surtout dans les matières techniques. Ca a été un peu la claque mais maintenant je regrette pas du tout le choix de mes parents. C'est à cette période qu'un gamin essaie la cigarette et une autre cigarette bien plus magique. Pour cette dernière par chance j'ai tellement été malade la première fois que depuis je n'y ai jamais retouché. Pendant trois ans j'ai croisé des gens de tout bords, conviction religieuse et politique, nationalité et c'est quelques choses que je souhaite à tout les gamins. Mes premiers pas dans la tolérance et l'acceptation de la différence. C'est aussi au même moment que je découvre des enseignants passionnés par leur métier qui arrivent à intéresser les plus récalcitrants et d'autres qui attendent le retentissement de la sonnerie pour partir loin de nous élèves ingrat. Ma matière préféré était l'atelier, forcement passé une journée en bleu de travail et chaussures de sécurité à pousser des voitures, mettre le nez dans le moteur accompagné par des professeurs tous plus originaux les uns que les autres. Au total j'en ai une quatre :

  • mécanique général, il pourrait être résumé à « aller les gars vous vous sortez les doigts et vous limez ». Excellent le mec, un prototype du rebelle proche de la retraite. Par chance j'ai eu qu'un an de mécanique générale. On a quand même conçue un arrache moyeu (que j'ai toujours) et une clé pour démonter les filtres à huiles, intéressant tout de même.
  • mécanique moteur, l'extra-terrestre. Un passionnée de moteurs il s'écoutait parler pendant des heures et c'était pas du tout intéressant, ces cours pas les moteurs. Il y avait un gros problème (entre autre) avec ce professeur, il avait une Lada et tout ces collègues ce moquaient de lui. Il l'a un peu chercher quand même, un autre professeur nous a expliqué la raison. Il avait repeint le moteur et il passait énormément de temps à le nettoyer... A la brosse à dents. Forcement il a souffert le reste de l'année avec nous. A tel point que l'année suivante il a refusé de nous prendre et c'était pas plus mal.
  • mécanique trains roulants et freins, le métaleux à la nuque longue. Qu'est ce qu'on a pu rigoler avec lui. On passait plus de temps à écouter ces conneries qu'à bosser, n'en reste que c'était un très bon professeur qui a réussi à mettre au boulot tout le monde à différent degré. Fallait juste pas l'emmerder car il était du genre « je tape et après je discute ».
  • mécanique moteur, l'ingénieur. En deuxième année nous avons eu ce nouveau professeur pour la partie moteur. Cette année était un peu particulière puisque c'était la possibilité pour les meilleurs de passer en BEP où la partie moteur était plus importante. Un professeur très compétent, lisse avec presque aucun défaut apparent. C'est avec lui que j'ai appris que les choses chiantes (nettoyer l'atelier par exemple), plus tôt elles sont faite mieux c'est. Le but était de faire en sorte que ça prenne le moins de temps pour ce consacrer à la partie intéressante. Je l'ai eu la troisième année. Avec un camarade nous étions dans ces petits papiers donc ils nous a mis ensemble pour travailler sur des voitures clients. Normalement c'était réservé au BEP mais en fait ce professeur était un rebelle qui n'appréciait pas le traitement des CAP donc, malgré l'avis contraire du chef d'atelier, on a bossé sur une vrai voiture. Une Renault 21 Nevada, il fallait juste vidanger le circuit de refroidissement et le remplir avec purge, rien de bien méchant. Sous ça surveillance mais sans son aide on a réussi l'opération, enfin c'est ce qu'on croyaient. Le lendemain le professeur vient nous chercher pendant la pause dans la cours et nous dit qu'il y a eu un problème avec la voiture. Il nous demande de lui expliquer comment on a remplie le circuit de liquide. Il a insisté sur le niveau, on lui a répété qu'on a bien fait attention à pas dépasser le max. Il a paru satisfait de la réponse et nous a expliqué le problème. Le propriétaire disait que le liquide avait débordé du vase d'expansion, notre professeur nous a rassuré en nous disant qu'il nous croyait et que le propriétaire avait surement ouvert le bouchon juste après avoir fait tourné le moteur. Du coup le circuit est en pression à cause de la chaleur et forcement ça déborde. Incident clôt.

17 ans et 10 mois je sors fièrement de l'école avec un CAP mécanique auto en poche. Pendant mon stage j'ai eu une première alerte lorsque le chef d'atelier m'a dit : « t'es pas mauvais mais malheureusement avec ton CAP tu fera juste des vidanges ». Sur le coup j'ai pensé qu'il déconnait, mais il avait raison. Les vacances d'été sont arrivés, pendant que mes copains partaient en vacances moi je cherchais du boulot. Merci mes parents de m'avoir expliqué et éduqué dans l'idée que l'argent ça tombe pas du ciel, en gros « t'en veux ? Sort toi les doigts ». Je vais pas faire Causette car ils ont toujours été là pour me soutenir et m'aider mais je devais d'abord essayer de me débrouiller seule.

18 ans et boulot d'été passé mon contrat a été prolongé plusieurs mois, ma tâche : remplir des rayons à 6h du matin du lundi au samedi avant que les clients de la grande surface arrivent. J'avoue que j'ai été aidé pour ce boulot, c'est ma sœur qui m'a pistonné. Mon fief : le rayon DPH, comprendre les produits d'entretiens (javel, produit vaisselle, assouplissant). Depuis je passe en apnée dans ces rayons car je ne supporte plus l'odeur qui y règne. Déjà à cette époque je m'intéressais à quelques trucs, c'était la mode des CB (prononcé à l'anglaise) et forcement j'en possédais une avec une antenne B27 qui pendant au volet de ma chambre. Mes voisins m'ont souvent entendu dans leurs radios réveils... J'ai passé des heures à communiquer avec des personnes comme moi, des routiers de passage dans le secteur. Nous étions une mini bande de trois copains de quartier, suivant les jours des connaissances de CB venait ou bien nous allions les rejoindre. Parfois ça a donné lieu à de belle rencontre, un jour un routier coincé à Lyon pour le week-end nous a fait profité de son camion, même si déjà à l'époque il avait pas le droit de rouler on à fait le musé de l'automobile et plein de ballade dans les alentours le tout en camion. J'en garde un bon souvenir et puis j'aime bien les camions (et les avions aussi). Oui je suis nostalgique, oui je peux être classé dans les vieux par les gamins qui savent même pas ce qu'est une CB mais je m'en fou. Mes parents m'offre un deuxième ordinateur avec Windows 95. Cette fois c'est la vrai découverte de l'informatique pour moi aidé par un ami CiBiste. On bidouille ma bête, on testent, on cassent, on changent.

Second boulot, je ne me rappelle plus trop comment c'est faite la transition mais cet ami CiBiste est comptable dans une petite société et le patron veux faire un catalogue sans passer par une agence ou un imprimeur. Pour commencer il me fait rentrer dans cette boite comme manar ou je pousse un chariot toute la journée. Pas trop dur comme boulot mais pas très valorisant et puis il y a eu un déclic. A cette période je suivais un traitement contre l'acné (on rigole pas) et c'était dans le genre remède de cheval que maintenant les médecins hésitent à donner. Forcement mon corps a fait un rejet total au bout d'un moment, grosse fatigue physique. Traitement arrêté et quelques jours plus tard je prends mon courage à deux mains pour aller voir les patrons et leurs proposer un deal : un contrat de qualification en PAO de deux ans. Une fois l'idée validé on part avec mon ami à la recherche d'une école qui le propose, c'est Format qui est sélectionné (plus tard ils deviendrons une filaire de l'école SEPR). Je me rappel de la visite du directeur dans nos locaux. Un petit vieux aux regards avisé et passionné par l'enseignement. C'est partie, contrat signé. Les débuts en entreprise ont été difficile car la société n'était pas vraiment informatisé. Il y avait seulement trois ordinateurs tout les restes étaient des terminaux textes. J'ai continué pendant quelques temps à jongler entre magasin et catalogue. La masse de travail était importante car rien n'existait, pas de photos numériques, pas de base données et surtout le nombre de références était énorme : environ 5 000 ce qui a donné en gros un catalogue de 500 pages. Pagemaker était mon ami, la découverte du milieu de l'imprimerie. Vous savez pas la chance que vous avez d'avoir des appareils photos numériques les gamins ! Quand je dis ça j'ai l'impression d'avoir 50 ans et pourtant c'était il y a à peine plus de 10 ans. J'obtiens mon « diplôme » qui n'a pas trop de valeur puisque c'était une formation qualifiante.

La société a continué d'évoluer informatiquement avec l'installation d'un nouveau serveur pour l'ERP (passage à l'an 2000 oblige) et la découverte pour tout les utilisateurs de l'univers Windows 98, mais attention la version SE (Seconde Edition). Jusqu'à cette période mon ami comptable s'occupait des problèmes informatiques et de temps en temps je lui filais un coup de main. Me rendant compte que je n'étais pas un créa dans l'âme j'ai commencé à me poser des questions sur mon avenir. L'informatique m'intéresse, c'est décidé je veux aller dans cette filière mais cette fois je veux faire les choses bien, reprendre mes études. J'en retiens une chose : l'éducation nationale est une secte procédurière qui ne laisse pas de place à ceux qui ne rentre pas dans le moule et malheureusement j'en fais partie. Forcement un mec avec un CAP mécanique auto qui veux faire de l'informatique ! Mais où va le monde ?! Cette fois encore je fais appel à la SEPR, par chance ils ne sont pas bornés. Après une évaluation de mon niveau il est décidé que je ferais quelques mois en remise à niveau BEP. Deuxième claque, à 20 ans se retrouver avec des gamins d'environs 16 ans qui parlent de travail comme si c'était une activité venant d'une autre planète que forcement ils ne feront jamais, pas facile. C'était la filière Champion, pas champion pour vainqueur mais Champion pour la marque... Niveau BEP atteint, septembre je fais ma rentré scolaire en BAC Pro MRBT en alternance. Par chance il y avait tout les âges et je n'étais pas le plus jeune. Encore de belle rencontre avec des camarades dont certains son devenu de vrai amis maintenant, des personnalités surtout chez les enseignants. En informatique j'en ai eu trois la première année :

  • Gégé, pour lui les imprimantes laser étaient encore à l'état de prototype. Dommage au boulot j'en avait une sur mon bureau et pourtant je bossais pas dans un labo. Il a essayé de nous former à NT4, juste pour infos c'était en 2001 à la grande époque des migrations vers Windows 2000 Server. Qui ose dire que le référentiel est dépassé ? Pour ma part je commençais à pas mal bricoler sur Linux et mon portable tournais avec une Fedora je crois.
  • BoumDjam, notre professeur réseau. Je sais pas combien ils étaient la dedans mais y avait du monde. Un coups ayant bosser au CERN, un autre il monte ça boite et un dernier il roule en merco. Ça particularité : ne jamais quitter son manteau. Ça reste tout de même un bon professeur pour la partie réseau.
  • Patoche, le soixante huitar rebelle touche à tout. J'ai jamais croisé un mec aussi curieux, son trip devait être d'apprendre et en plus il en avait sous sa calvitie. C'était surtout un mec complètement barré qui pendant les cours nous demandait si on avaient pas des plans pour avoir des vidéos zoophile... Je sais toujours pas si il était sérieux mais qu'est ce qu'on a pu déconner avec ce mec. Le nombre de fois ou pendant les cours à la pause ou même bien avant on allaient au café du coin avec lui pour ce détendre. Il était enseignant à la Doua et en parallèle prenait des cours pour passer ces modules d'ingénieurs, à la cinquantaine bien tassé faut le faire. Le nombre de fois ou on lui parlais d'un truc qu'il ne connaissait pas et la semaine suivante nous faisait un cour dessus, je suis assez admiratif de personnes comme ça qui n'hésite pas à dire « oui je connais pas mais je vais chercher ». Je me rappel d'une phrase qu'un jour ils nous a dit lorsqu'on parlaient musique et culture : « les mecs vous êtes pas né la bonne année. Fallait venir à Woodstock ». Et c'est vrai que j'aurais aimer vivre cette révolution culturelle.

Dans les autres matières j'ai eu des professeurs atypiques :

  • Macouille, petit surnom de notre professeur de français/histoire. Un Socialise dans l'âme, lui aussi passionné par son métier et avec un humour très particulier... Mais fallait pas l'emmerder.
  • Belle pomme : notre professeur d'anglais. Je la connaissais déjà car je l'ai eu pendant ma remise à niveau, j'étais son petit Philippe (quoi moi petit à 1,90m). Elle en a fait fantasmée des élèves et des professeurs aussi. Elle était Franco/Anglaise/Allemande, elle aussi nous a fais beaucoup rire à être volontairement naïve. Un camarade s’appelait Jean-paul mais pour elle c'était popole, je vous laisse imaginer les dérives. De bon souvenir, surement la meilleur période de mes études. Si on me proposait de refaire un BAC dans les mêmes conditions je signe tout de suite.

En parallèle il y avait le boulot, je creusais ma place. Premier serveur mis en production, un contrôleur de domaine Samba et un serveur de FAX. L'épreuve du BAC est vite arrivé et je l'ai obtenue, sans être une bête, de mémoire j'ai eu 11 de moyen. Après le BAC que faire ? Continuer ou pas sur un BTS ? J'étais suivie par mon employeur donc je me suis lancé.

J'ai retrouvé BoumDjam, Belle Pomme, Patoche mais c'était pas la même chose, pas du tout la même ambiance bien moins fun et puis fallait cravacher pour suivre le niveau. J'ai rapidement décroché en math à telle point que je n'allais plus en cours et me réfugiais dans la de salle de Patoche pour bosser l'informatique. Ces deux années pas de nouvelles personnalités du côté enseignant. Quelques spécimen côté camarades :

  • robced : une encyclopédie de réplique de séries, films, humoristes. Un motard allumé et un fêtard. Le nombre de fois ou le vendredi matin il arrivait en transpirant le whisky. Il nous a fait beaucoup rire.
  • martos : ça maison c'était ça voiture, toujours en vadrouille, en bringue avec des plans plus tordu les uns que les autres. Mais une sacré tronche ce mec !

Côté boulot, toujours plus de responsabilité, d'activité. C'est l'avantage des petites structures faut toucher un peu à tout. J'ai obtenue mon BTS dans la douleur, l'idée de continuer m'a traverser l'esprit mais je pense ne pas avoir le niveau pour le BAC +5.

Actuellement je m'occupe d'un parc d’environ 30 machines, quelques imprimantes et quelques serveurs. En plus de mon activité je fais depuis peu de la gestion de projet. Même si on est pas irremplaçable dans une entreprise le but est de ce rendre assez nécessaire pour que le changement soit difficile. Chose que j'ai confirmé lors d'un entretien avec mon patron en début d'année 2013. L'avantage dans cette société est la volonté d'en faire le maximum en interne donc on a parfois des besoins bien supérieur à notre taille et pas mal de boulot.

Maintenant avec le recul je suis attiré par d'autres aspects de l'informatique. Monter une machine ça va un moment, brancher des câbles aussi, regarder les logs défiler est soporifique. Mais le projet c'est très intéressant premièrement humainement. Être en relation avec des personnalités différentes, des métiers différents est très enrichissant. L'autre point du projet est le côté création. En maintenance on fait que du palliatif ou on joue au sapeur pompier alors qu'en projet on est avant la mise en service voir même à la source de l'idée. Il faut réfléchir pour créer la solution qui convient à toute les parties et qui répond à l'objectif. La curiosité est absolument nécessaire et il ne faut surtout pas rester sur ces acquis, toujours apprendre de nouvelles choses, ne pas avoir peur de ne pas savoir, écouter ceux qui connaissent leur métiers, négocier pour faire passer une idée, accepter la critique et ne pas avoir peur d'aller au combat parfois.

Je conclurais que l'informatique n'est plus une passion mais mon métier, ma passion professionnelle est devenue l'apprentissage et le relationnel. J'essaie de l'appliquer à ma vie personnelle maintenant et ça marche pas trop mal.

Classé dans : Personnel Mots clés : aucun

Rédigé par  4 commentaires   Mis à jour le  02/05/2022

Administrateur système de métier mais surtout curieux de découvrir de nouvelles technos très orientées DIY. A mes heures perdues je fais de la photo avec toujours une petite envie d'intégrer des DIY sous forme de timelaps à base de raspberry.

4 commentaires

flipflip a dit

@TefenX : Merci

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TefenX a dit

J'avoue que vous avez une sacrée plume et puis ça fait plaisir de connaitre un peu mieux celui qui m'aide autant sur Piwigo. Très bel article, Félicitations!

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flipflip a dit

@michelle ganter : Merci et beaucoup de fautes aussi, j'en ai corrigé quelques une :)

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michelle ganter a dit

j'aime bien ce que tu écris : beaucoup de sensibilité !

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Errance et Curiosité - Philippe Maladjian - Péripéties bucoliques d'un administrateur systèmes au royaume de la virtualisation, du stockage et accessoirement photographe à ses heures perdues